Qui n’a jamais rêvé de partir à l’étranger, à la découverte de l’inconnu, loin de toutes ses habitudes et ses repères ?

À voir le succès des programmes d’échanges universitaires comme Erasmus, nous ne sommes pas les seuls à avoir eu envie de nous lancer. D’ailleurs, nous ne sommes ni les premiers ni les derniers à programmer un voyage à l’opposé de notre terre natale.

Mais quand on est plus étudiant, comment faire ? Pour différentes raisons, nous n’avons pas pu ou pas voulu partir pendant nos études, en nous disant que « plus tard », ce serait l’idéal.

Le moment idéal est-il enfin venu ?

De mon point de vue, il n’y en a pas. Quelle que soit la motivation, il y aura toujours un « mais » sur le chemin qui vous fera hésiter, repousser vos projets… La peur de l’inconnu, les projets perso, l’argent, la famille, le travail, les amis, ses passions, on trouvera une foule de bonnes raisons pour rester les deux pieds sur terre et pour ne pas prendre ce foutu avion qui va nous emmener à plus de 17 000 kilomètres de ce qu’on connaît.

Non, vraiment, le moment idéal ne se dessinera pas tout seul.

Nous avons 25 et 24 ans, diplômé tous les deux après quelques années d’études, nous commençons tout juste notre vie de jeunes actifs. Est-ce le meilleur moment pour partir ? Peut-être pas. Mais peut-être que demain, une autre raison valable nous empêchera de réaliser ce rêve de môme.

Bref, il n’y a pas de moments opportuns, il y a des occasions qu’il faut saisir… ou se créer. Nous avions planifié notre départ pour dans quelques années, le temps de se faire une expérience professionnelle de 2 ou 3 ans, le temps d’économiser… Nous avons finalement réalisé qu’aujourd’hui ou demain, les problèmes seraient toujours les mêmes. Alors, à quoi bon attendre ?

L’argent, le nerf de la guerre

Le premier frein à une telle aventure est l’argent. On va pas se le cacher, partir comme ça à l’étranger ça coûte un peu de sous. Les billets d’avion, l’assurance (ultra important !), la vie sur place, les premières dépenses… Tout ça nécessite d’avoir un petit pécule… que nous n’avions pas.

Un frein que nous avons réussi à dépasser en planifiant ce voyage en avance. Nos économies personnelles, les cadeaux d’anniversaire, de Noël… Tout ou presque va dans notre pot commun de départ. On est quand même pas à se priver d’un petit resto de temps en temps.

Nous avons également présenté ce projet à des professionnels de la mobilité internationale. Ces derniers ont soutenu notre projet et nous ont attribué une bourse. Pour plus d’informations, à ce sujet rendez-vous dans la rubrique “Nos partenaires“.

Mais… où partir ?

Une question de goûts et de couleurs à laquelle il est relativement difficile de répondre. Donc plutôt que de m’essayer à philosopher, je vais vous expliquer pourquoi nous avons choisi la Nouvelle-Zélande.

Ça tient en quatre mots : Le Seigneur des Anneaux. Non, j’rigole.
 En vrai (de vrai), ce pays nous a toujours attirés, car il est moins connu et moins populaire que son voisin australien. On retrouve la montagne pour Pierre-Jean, cascadeur ou alpiniste à ses heures perdues… et la plage, pour moi et mon irrémédiable besoin de voir la mer.

Bref, une alliance parfaite dotée de paysages époustouflants (et c’est là que le Seigneur des Anneaux a joué un rôle, sans blague cette fois). Un petit “paradis” sur terre dont on sait seulement que la vie y est douce (et que le kiwi n’est pas qu’un fruit).

Le choix du pays, c’est avant tout personnel. Certains seront attirés par des paysages asiatiques, d’autres non. Certains préfèreront les contrées africaines, d’autres les grandes villes américaines. En fait, tout dépend de votre projet, de vos affinités avec la campagne ou la ville, de vos objectifs de voyage… Mais, quitte à partir, autant aller dans un pays qui nous intrigue, non ?

  1. Ahah je me retrouve totalement dans cet article!

    L’envie de partir, de voyager, découvrir le monde me titille depuis un moment! Mais pas d’argent, les études à finir, Chéri qui s’impatiente qu’on emménage ensemble… Alors j’me demande toujours quand est-ce que je pourrais, quand l’occasion se présentera…

    Mais comme tu dis, l’occasion, il faut se la créer! Et j’espère pourvoir le faire très bientôt…

    En tout cas, je pense que c’est quelque chose qu’on ne regrette pas, peut importe le moment auquel on le fait. Vous avez bien fait 🙂

  2. Je suis assez d’accord! Il faut se lancer, et ne pas repousser.. Sinon on ne le fait jamais!
    Perso on ne s’est pas trop poser de questions vis à vis de notre âge ou de notre situation professionnelle ! Quand on veut on peux et c’est vrai qu’il faut quand même des mois et des mois pour économiser! Profitez en au maximum en tout cas ^^

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