Le PVT, VVT ou WVH est en fait un programme mondial qui permet aux jeunes jusqu’à 30 ans de partir à la découverte d’un pays pendant un an tout en donnant la possibilité de travailler dans ledit pays.

Actuellement les échanges se font entre la France, la Nouvelle-Zélande, Hong-Kong, le Canada, le Japon, l’Australie, l’Argentine, la Corée du Sud et Taiwan… et bientôt le Brésil. Bien pratique pour voyager tranquille !

 

Le PVT en question

Ce partenariat permet d’intégrer un des 9 pays pendant un an, de pouvoir y circuler et y travailler librement. Souple, et simple d’accès (en tout cas pour la Nouvelle-Zélande).

Pour qui ?  C’est LE visa idéal pour les jeunes jusqu’à 30 ans (35 ans pour le Canada). Les jeunes de 40-50 ans devront se tourner vers d’autres moyens…

Pour quoi ? Voyager et travailler dans le pays, selon certaines règles propres à chaque pays (notamment en Nouvelle-Zélande, nous ne sommes pas autorisés à travailler plus de 3 mois consécutifs dans la même entreprise)

Comment ? C’est plus ou moins simple d’obtenir un visa selon les pays. En Nouvelle-Zélande, par exemple, le nombre de candidats au départ de la France est assez faible et c’est pourquoi aucun quota n’a été mis en place. Obtenir son visa est simple et rapide : en deux clics et une semaine d’attente, vous l’avez.

Pour le Canada, l’Argentine, La Corée du Sud, Hong Kong, le Japon et Taiwan (uniquement accessibles aux ressortissants belges pour le moment), des quotas ont été mis en place. Selon le site Pvtistes.net, cela ne pose pas vraiment de soucis pour les destinations peu demandées (comme l’Argentine), mais relève du vrai parcours du combattant, notamment pour le PVT Canada. Les visas s’écoulent comme des petits pains, les places sont donc accordées aux internautes les plus rapides.  

Quand ? Les visas sont valables un an. Il est parfois possible de les rallonger dans certains cas (on ne manquera pas de vous expliquer comment cela se passe en Nouvelle-Zélande). Attention cependant : ce visa n’est valable qu’une seule fois dans chaque pays. En gros, vous pouvez visiter 8 pays grâce au PVT. 

Les avantages du Programme Vacance Travail

Pour nous, le PVT s’est presque imposé face aux autres visas disponibles en Nouvelle-Zélande. En effet, c’est un moyen facile, rapide et surtout assez peu couteux pour partir.

Aucun papier n’est demandé. Vos seules obligations à l’arrivée sur le territoire sont d’apporter la preuve que vous pouvez en repartir (comme un billet d’avion retour ou, à défaut, le montant du billet d’avion sur votre compte) et les fonds nécessaires demandés par l’État pour l’arrivée sur son sol (vous devez donc disposer de 4200$NZ sur votre compte, soit, selon taux de change actuel, 2500 euros environ).

Bref, obtenir un visa est facile et plutôt économique : le nôtre nous a couté 100 euros. Il nous permet pendant un an de travailler, de conduire et de nous déplacer à travers tout le pays. Dans le cadre de notre projet, le PVT nous donnera l’occasion de rencontrer des locaux, grâce au jobs ?

Finalement, on s’est pas vraiment posé la question, car en dehors de cette possibilité, l’accès au sol néo-zélandais est bien plus règlementé : il faut prouver qu’un emploi nous attend, et que ce dernier ne peut pas être occupé par un local…

Si le PVT vous intéresse, nous vous recommandons notre bible sur Internet, le site pvtistes.net qui regorge de conseils et d’infos pratiques sur l’ensemble des destinations !

  1. Ouh ça m’intéresse ça! Super piste pour partir ce visa! (Mais dommage pour le Canada, c’est le pays qui m’attirait le plus… comme tout le monde apparemment!)

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